À la guimauve des naïfs en crise
Tintent les cloches d’une terre promise.
Rien n’est vain à l’espérance des cœurs
Tous les possibles aux pèlerins sans peurs.
Lève-toi et marche, disait le prophète, crucifié sur l’autel des espoirs
Même dans le noir, un pas après l’autre, échoir, vouloir ou croire ?
Tout ce que l’homme peut devenir, tout ce dont il est capable, écrivait Kundera
Dont les mots dessinaient l’existence et non la réalité des braves, on croira.
Vivre sans espoir, c’est cesser de vivre, croyons
À Dostoïevski, oscillant entre exaltation et désillusion.
Désespoir, prison de la mélancolie des pensées négatives
Je choisis l’optimisme des générations à naître, joliment naïve.
Sophie Radermecker
Le 11 août 2019
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